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Sujet: Tell me everything will be alright. Dim 30 Jan - 23:20
TUMBLR JUNO MORGAN CHRISTENSEN
AGE Ϟ J'ai vingt ans. Il parait que c'est le bel âge: l'âge de la liberté, tout ça. Mouais. DATE ET LIEU DE NAISSANCE Ϟ Je suis né le treize avril, non pas ici mais à New York, dans l'Upper East Side. NATIONALITÉ Ϟ J'aurais aimé dire que je suis anglais ou italien, un truc comme ça, mais la vérité c'est que je ne suis que Américain. STATUT Ϟ Logiquement, en couple. Selon les humeurs de mademoiselle, j'ose dire. OCCUPATION Ϟ Veiller sur Sally. SUPER POUVOIRS Ϟ
► If a bear and a shark had a fight, who would win? DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ÊTES-VOUS À DALLAS? Ϟ OÙ ÉTIEZ-VOUS DURANT L'ORAGE DU 28 DÉCEMBRE? Ϟ AVEZ-VOUS REMARQUER UN CHANGEMENT DEPUIS CETTE FAMEUSE NUIT QUE CE SOIT VOUS CONCERNANT OU CONCERNANT VOTRE ENTOURAGE? Ϟ CITEZ TROIS CHOSES QUI SONT INDISPENSABLES POUR VOUS? Ϟ À QUOI RESSEMBLE VOTRE QUOTIDIEN? Ϟ
► I fookin love ya PSEUDO Ϟ Paperback. AVATAR Ϟ AARON JOHNSON LE MAGNIFIQUE ACTIVITÉ Ϟ 26 jours/7. (Trop forte, la fille.) OÙ AS-TU TROUVER LE FORUM? Ϟ Par Jadedidedidedidoum sur èmèssène COMMENTAIRES/DÉDICASSES Ϟ Juno beach.
Dernière édition par Juno Christensen le Mer 2 Fév - 16:08, édité 2 fois
Juno Christensen
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Sujet: Re: Tell me everything will be alright. Dim 30 Jan - 23:20
TUMBLR
► I'm gracefully tall and you're freakishly short. Comme beaucoup de gens, Juno a plusieurs caractères: celui qu'il campe quand il est en société, ou avec des amis, et son vrai caractère, celui que seulement ses proches connaissent. Quand il est en communauté, Juno est un peu comme tous les autres: il rit, il fait rire, il est un peu grande gueule, aussi. On dit de lui qu'il est sympa mais parfois vraiment con et gamin. Les gens qui connaissent réellement Juno (et il n'y en a pas beaucoup) n'iront jamais dire ça. Parce que Juno, en réalité, il n'a rien de con en lui, c'est juste qu'il vaut mieux toujours marcher dans son sens et ne jamais l'énerver. Car voyez-vous, Juno est susceptible. Colérique, capricieux, un peu comme un enfant. Mis à part ça, il est plutôt intelligent et mature, il faut juste chercher un peu. Il est beaucoup plus intelligent qu'il ne veut le laisser croire. Il est également sensible, mais préfère ne pas le montrer. C'est comme ça qu'on l'a élevé après tout. Juno voudrait être architecte. C'est son rêve depuis qu'il est petit. Mais très tôt, deux problèmes se sont posés. Le premier: le fait que ses parents ne soient pas d'accord avec la voie que Juno avait choisi. Ils auraient largement préféré que leur fils devienne un célèbre médecin, homme d'affaires ou avocat. Un métier respectable, selon eux. Le deuxième, encore plus insurmontable, est que Juno n'était pas forcément très fort dans les matières scientifiques, quand il était au lycée (ni dans les autres matières, pour tout dire). Récemment, un troisième problème s'est posé. J'explique. Depuis que Juno est parti de chez lui, il ne croule pas sous l'argent, et celui que son petit job dans un café lui donne, il s'en sert pour payer le loyer de son loft. Autant dire que les études, c'est pas pour tout de suite. Ce qui n'est pas du tout l'avis de Cyan, le meilleur ami de Juno. Cyan et lui se connaissent depuis que Juno a neuf ans. Cyan en avait quatorze (les deux jeunes hommes ont cinq ans de différence). Juno, avec sa grande gueule, s'était attiré des ennuis avec des amis de Cyan, et ce dernier, tout gentil comme il était, avait réussi à empêcher ses copains de frapper Juno qui n'était, il faut l'avouer, encore qu'un enfant, à l'époque. Depuis, ces deux-là ne se quittent plus. C'est d'ailleurs grâce à Cyan que Juno connait Leonardo Di Caprio. Ah, entre cet acteur et Juno, c'est une grande histoire, Juno lui voue un véritable culte, c'est son Dieu, son modèle dans la vie, tout ce qu'il aurait rêvé d'être. Juno ne jure que par Di Caprio, et ne peut s'empêcher, parfois, de citer quelques unes de ses paroles. Il lui arrive aussi souvent de sortir des citations de films de Leonardo.
Dernière édition par Juno Christensen le Mar 8 Fév - 23:50, édité 5 fois
Juno Christensen
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Sujet: Re: Tell me everything will be alright. Dim 30 Jan - 23:21
TUMBLR
Ceci est l'histoire d'un garçon qui rencontre une fille. J'aimerais dire que j'ai commencé à travailler à l'âge de cinq ans pour ramener un peu d'argent à mes parents, mais la vérité c'est que je suis né avec une cuillère en argent, voire en or, dans la bouche. J'aimerais aussi dire que je me suis toujours affirmé devant ma famille, et que je les ai pas laissés choisir mon avenir à ma place, mais là encore ce serait mentir, car je me suis toujours écrasé, je me suis toujours laissé faire. Ils ont même été jusqu'à me dégoter une future femme. Si c'est pas ignoble, ça. Un soir, alors que j'avais environ dix-huit ans, ma mère est venue me voir dans ma chambre et a posé sa bague de fiançailles sur mon bureau. « L'anniversaire de Minty est la semaine prochaine. Tu devrais lui offrir cette bague. » Ça m'avait flingué. Minty est la fille des meilleurs amis de mes parents. Comme moi, elle est fille unique, et je l'ai toujours considérée comme ma petite sœur. Ma fiancer avec elle? Quelle idée. « Pourquoi j'offrirais une bague à Minty? » Ma mère m'avait regardé d'un air un peu trop entendu en disant: « Allons, ne fais pas comme si tu n'avais compris. » J'avais répliqué que Minty ne pouvait pas être amoureuse de moi. Ma mère avait gardé le silence. « Bon, admettons », avais-je dit, « moi, je ne suis pas amoureux d'elle. » « Je suis sure que ça viendra », m'avait-elle assuré, n'ayant cependant pas trop l'air d'y croire. Après ça, je crus que mes parents, voyant ma réticence, me laisseraient tranquille avec ça, mais le fait est qu'ils m'en reparlèrent plusieurs fois. Je finis par comprendre que c'était vraiment important pour eux. Alors... je l'ai fait. J'ai offert la bague à Minty. Dire que ça lui a plu serait un euphémisme: elle était littéralement en transe, je ne l'avais jamais vue si heureuse. Mon dernier espoir, c'était qu'elle ne soit pas du tout amoureuse de moi. Malheureusement pour moi, et heureusement pour mes parents, elle l'était, follement, même. À croire que ma mère est devin. Pour ce qui est des sentiments de Min envers moi, du moins. Car contrairement à ce que ma mère avait prévu, je ne suis pas du tout tombé amoureux de Minty. C'était bien, de sortir avec elle. On rigolait, on fumait, on allait chez Barney's. C'était un peu comme quand on était amis, sauf qu'on s'embrassait de temps en temps. Après, ça s'est un peu gâté. Et je sais bien que c'est de ma faute. J'ai rencontré une fille, à une fête que Minty donnait. Et pas n'importe quelle fille: la meilleure amie de Minty. Je crois que j'étais un peu bourré, ce soir-là. En temps normal, j'aurais trouvé cette fille belle mais je n'aurais jamais essayé de ma draguer. Je n'aurais jamais fini dans la buanderie de ma petite copine, en train d'embrasser sa meilleure amie. Et encore, tout se serait bien passé si ma petite amie en question ne s'était pas pointée pile au moment où j'allais conclure avec la fille. Le résultat, c'est que je me suis retrouvé sans petite amie, et Sally (c'était ça son nom, à la fille, Sally) sans logement. Je pense que je ne suis pas le plus à plaindre, sur ce coup-là. Alors naturellement, ça a fait un drame familial. International, même. Mes parents en ont parlé à tous leurs amis, alors bonjour l'humiliation. Ils ne m'ont pas adressé la parole pendant des semaines, c'était folklore la vie de famille. J'avais envie de leur dire que c'était pour eux, que j'avais fait tout ça, la bague, et que si ils ne m'y avaient pas forcé, on n'en serait pas là. Personnellement, ça me dérangeait pas plus que ça de ne plus être en couple avec Minty. Certes, elle allait me manquer en tant que meilleure amie, mais pour ce qui est du reste... C'était surtout l'attitude que mes parents adoptaient envers moi, qui me pesait. Je vais vous dire: un jour, j'en ai eu tellement marre que je suis parti m'installer tout seul à l'autre bout de la ville, à Brooklynn. J'ai trouvé un petit boulot dans un restaurant à Manhattan. C'était un peu galère pour y aller, mais c'était bien payé, ça me permettait de survivre en quelques sortes. Car vous pensez bien que mes parents n'allaient pas m'envoyer de l'argent tous les mois, après ce que je leur avait fait. Je crois que le plus dur, c'était la solitude. Être sans cesse tout seul dans ce loft, c'était franchement pesant. Alors, j'ai commencé à chercher un colocataire. Sans beaucoup d'entrain, cependant. La seule personne avec qui j'avais envie de discuter, la seule personne que je désirais voir, c'était Sally. Je sais que j'aurais du regretter Minty, sa chaleur, son humour, son entrain, mais la vérité c'est que je n'avais pas arrêté de penser à Sally depuis le soir où on s'était retrouvés dans cette buanderie. Je lui aurais bien proposé de venir habiter avec moi, histoire de faire plus ample connaissance, tout ça, mais après que Minty l'eut viré de chez elle, Sally disparut complètement de la circulation. Et moi, j'ignorais tout d'elle. Je ne connaissais même pas son nom de famille. J'ai fini par abandonner. Et c'est pile à ce moment-là, au moment où je n'y croyais plus du tout, que je l'ai retrouvée.
PAPERBACK
Life is always hard for the belle of the boulevard. Il devait être minuit, au moins. J'avais travaillé tard, comme tous les vendredi soir. C'était il y a deux ans, pratiquement jour pour jour, en janvier. J'étais frigorifié. Je n'avais qu'une seule image en tête: celle de mon minuscule appartement tout chaud. Je marchais la tête baissée, quand mon torse est soudain entré en collision avec une petite chose ronde: une tête, surement. J'ai reculé pour m'excuser mais les mots sont restés coincés dans ma gorge: la fille que j'avais bousculée, ou qui m'avait bousculé, enfin, peu importe, cette fille, c'était Sally. J'ai mis un temps infini à reprendre mes esprits. Elle non plus ne disait rien, mais pour des raisons différentes des miennes (elle avait l'air d'avoir sniffer cinq cents kilos de drogue). Quand elle a fini par me reconnaitre, elle a voulu partir. Mais elle était tellement pétée qu'elle a vacillé. Je l'ai rattrapée et elle a eu l'air de tomber dans les pommes. Ou alors, elle dormait. Aujourd'hui encore, je l'ignore. Je l'ai ramenée chez moi. Je lui ai préparé un chocolat chaud, seulement elle était trop à l'ouest alors je l'ai bu moi-même, plus tard. Je lui ai fait prendre un bain. J'avais presque fini quand il s'est passé quelque chose qui n'arrive d'ordinaire jamais: on a frappé à la porte. De peur qu'elle fasse une connerie, j'ai vite sortie Sally de son bain, lui ai fait enfiler un peignoir puis je l'ai laissée s'écrouler sur mon canapé et j'ai couru à la porte. C'était Cyan, un des mes rares amis, mon meilleur ami, pour tout dire. Que faisait-il chez moi à cette heure-là? « Aaaaaaaah ben t'es vivant alors! Excuse moi de la non-subtilité de ma question, mais franchement, j'étais persuadé du contraire. Tu sais depuis combien de temps j'ai pas eu de tes nouvelles?! Désolé de passer si tard, au fait. Je rentre de boite. J'ai pas vu le temps passer. » Pendant qu'il jacassait, il était entré chez moi. C'est vrai qu'on ne se voyait pas souvent, lui et moi, mais dans l'absolu, tout ce que je souhaitait, c'était qu'il sorte. Et vite. J'allais le lui demander quand: « Oh! Mais t'as une invitée, ma parole! » « Euh oui, mais c'est pas exactement ce que tu penses », l'informai-je. « Qu'est ce qu'elle a eu? T'as vu ses cernes?! On dirait qu'elle a... je sais pas. Reniflé des tonnes de trucs. » Je ne répondis pas, me contentai juste de fixer Cyan. « Tu penses que c'est ce qu'elle a fait? Alors, t'as même pas pu la sauter?! Putain, quelle frustration ça a du être pour toi, mon pauvre... », a-t-il chuchoté. J'ai deviné qu'il avait l'intention d'enchainer sur autre chose et certainement de passer la nuit ici pour qu'on discute demain matin. J'étais en train de me demander comment je pouvais lui dire le plus courtoisement possible qu'il n'était pas invité du tout quand il a dit: « Je devrais partir, non? Je te laisse avec ta Juliette. Si elle se réveille et qu'elle me voit, elle va complètement t'oublier et me sauter dessus. Je peux pas te faire ça, mon pote. Je repasserai, bonne nuit mon gros lapin! » Il est parti. Et Sally ne se réveillant pas, je suis allé me coucher à mon tour. J'ai dormi comme un bébé, une chose qui n'était pas arrivé depuis... longtemps. Quand je me suis réveillé le lendemain matin, Sally dormait encore. J'en ai profité pour lui faire un petit-déjeuner et pour grignoter un peu également. J'en étais à ma troisième tartine de Nutella quand j'ai entendu remuer dans le salon. Je me suis vite recoiffé (inutile, je sais, que voulez-vous), puis je me suis précipité auprès d'elle. Pour finalement me contenter de dire: « Bonjour. » Abruti. Elle avait l'air quelque peu désorientée. « T...t...toi », fut tout ce qu'elle arriva à me dire. Je ne sais pas si c'était le choc ou autre chose, en tous cas, elle commençait à m'inquiéter. Était-ce le fait de se trouver dans un endroit sain, ce qui n'avait pas du lui arriver récemment vu son état, qui la perturbait tant? « Eh, te précipite pas, t'as besoin de repos. » La situation était un peu gênante. Moi, j'avais envie de la serrer dans mes bras, de lui raconter à quel point j'avais pensé à elle depuis cette soirée, mais de son côté, j'avais l'impression qu'elle me reconnaissait à peine. « Tu... tu te souviens de moi? », demandai-je presque timidement. « Bien sur », murmura-t-elle avec une once d'impatience dans la voix. Mais il est vrai que ce n'était pas parce qu'elle se rappelait de moi qu'elle avait eut envie de me revoir. Après tout, en soirée, des tas de gens finissent par s'embrasser, mais ce n'est pas pour ça qu'ils sont amoureux. Sally n'était certainement pas tombée amoureuse de moi. Qu'est-ce-que j'avais été imaginer? Tout de même un peu déçu, je baissai la tête et maronnai: « Vu ton état, à mon avis tu ferais mieux de rester ici quelque temps, mais tu fais comme tu veux. » Elle m'observa longuement, comme pour me tester. Elle semblait partagée, comme si elle hésitait entre plusieurs choix. Puis, finalement, elle accepta ma proposition d'un signe de tête. Je me demandais comment ça allait être, de vivre avec elle. Elle avait l'air de se poser la même question. Longtemps, aucun de nous ne parla. Plus exactement: personne ne savait quoi dire. Je finis par lâcher: « Il va falloir que je parte. Au boulot. Je peux t'essayer d'avoir un petit travail, si tu veux. Je bosse dans un café. » Là encore, elle ne dit rien mais acquiesça, avec un semblant de sourire. Je me relevai, ouvris la porte d'entrée, puis tentai un sourire d'au revoir à Sally. Sourire qu'elle me renvoya. Tout content, je refermai la porte et m'en allai gaiement.
Dernière édition par Juno Christensen le Dim 6 Fév - 17:19, édité 7 fois
Juno Christensen
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Sujet: Re: Tell me everything will be alright. Dim 30 Jan - 23:21
TUMBLR
J'te parle d'amour là, pas du Père Noël. Jally.
Dernière édition par Juno Christensen le Sam 5 Fév - 19:14, édité 2 fois
Sujet: Re: Tell me everything will be alright. Dim 30 Jan - 23:53
JUNO ET MORGAN. Comme le nom des meilleures personnes vivante . Mon frère et moi on gère - même si ce petit con fait des rêves incestueux - . BREF MA MUMMY CHIX MON PETIT AMOUR MON CHATON JE T'AIME
Sujet: Re: Tell me everything will be alright. Lun 31 Jan - 13:52
Sally Walsh-Byrne a écrit:
MOOOOOOOOOOOOOOOOOOON GNIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIH À MOOOOOOOOOOOOOOOOI
FAIS PAS DE BÊTISE TOI VA
Juno Christensen
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Sujet: Re: Tell me everything will be alright. Lun 31 Jan - 20:55
Stormy-Fallen Walsh-Byrne a écrit:
JUNO ET MORGAN. Comme le nom des meilleures personnes vivante . Mon frère et moi on gère - même si ce petit con fait des rêves incestueux - . BREF MA MUMMY CHIX MON PETIT AMOUR MON CHATON JE T'AIME
LOLILOL. MAIS T'AS PRESQUE RAISON J'AI ENVIE DE DIRE. (Ahah oui quel fou hein celui-là!) JE T'AIME ÉGALEMENT MISSISSIPI FRIDESWARE ELLA SIMMS-MILLER.
Ginger Walsh-Byrne a écrit:
La fameuse Élodie Bienvenue. Sa mère, ta fiche est déjà géantissime
Oh, merci À qui donc ai-je l'honneur?
Chuck Black-Irving a écrit:
MA CHOUPETTE QUI GERE TOUT AUTANT AVEC LEIGHTON QU'AVEC AARON
UNE CHOUPETTE EN CANDICE AVEC UN PRÉNOM TROP SEX!
Sally Walsh-Byrne a écrit:
MOOOOOOOOOOOOOOOOOOON GNIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIH À MOOOOOOOOOOOOOOOOI
OH COMME JE T'AIME TOI. MÊME SI T'AS ABANDONNÉ MON JUNO. (MAIS IL VA REVIENDRE. Y AURA PLEINS DE VIOLONS ET TOUT.)
Sujet: Re: Tell me everything will be alright. Lun 31 Jan - 22:13
WESH DE WESH CA VA PLUS OF COURSE QU'ON AURA UN LIEN , mais stormy c'est une putacienne une diabolique (et on en aura un avec mon dc aussi )
Juno Christensen
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Sujet: Re: Tell me everything will be alright. Lun 31 Jan - 23:13
C'est Uniteed ton DC? (Ou un truc du genre, j'ai vu que vite fait.) Oui j'ai vu mais bon c'est la sœur de Sally alors un lien obligé. Pis toi + Katie c'est encore doublement plus obligé
Sujet: Re: Tell me everything will be alright. Mar 1 Fév - 1:49
Tu insinue que je suis raciste envers moi-même à ouai ? Bah tu seras mon souffre douleur voilà . Et oui un avec uniteed aussi . Puis toi ana ne fais pas ta victime je suis innocente dans l'histoire
KEEP HOLDING ON OCCUPATION: Etudiante en droit. RELATIONSHIP: STATUT: Célibataire.
Sujet: Re: Tell me everything will be alright. Mar 1 Fév - 2:02
Oui, des plus innocentes. provoquer la rupture entre sa sœur et son copain ainsi que le divorce de ses parents, c'est le boulot de quelqu'un de très innocent.
Dernière édition par ginger walsh-byrne le Sam 13 Aoû - 23:49, édité 3 fois