NAVID ϟ born to be wild.

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BY TUMBLR

NAVID SUSAN SULLY-HAWKINS

✩ Feel the adrenaline moving under my skin. It’s an addiction such an eruption, sound is my remedy feeding me energy

AGE Ϟ La réalité veut que l'on grandisse tous un peu et même en une seule et même année vous pouvez prendre pas mal de ride, croyez le ou pas ! Bon en toute naturalité sachez que la jeune femme a actuellement vingtet une années depuis quelques mois. DATE ET LIEU DE NAISSANCE Ϟ Elle a vue le jour un certain vingt juillet, un jour où le soleil s'est voulu canicule. La ville de Dallas en demeure témoin cependant. NATIONALITÉ Ϟ Américaine bien qu'elle possède quelques origines britannique dans la famille et ce depuis des lustres. STATUT Ϟ La belle est célibataire depuis quelques mois, mais son coeur balance vers une seule et unique personne depuis longtemps OCCUPATION Ϟ La jeune femme travaille dans un ranch en tant qu'aide vétérinaire en parallèle de ses études dans le meme domaine. SUPER POUVOIRS Ϟ Loin d'avoir était touchée par cet orage, Navid possède cependant un don par le biais du nouveau coeur qu'on lui a greffé il y a de cela peu de temps. La femme qui lui a fait don de son organe lui a également légué le pouvoir de métamorphose animal. Un don hors du commun qui lui permet après une extrême concentration une mutation en animal à savoir un husky de sibérie blanc pour être exact. Cependant elle vient de les découvrir donc son contrôle n'étant pas total, il lui arrive souvent de se transformer en période de froid ou encore de stress.

► If a bear and a shark had a fight, who would win?

DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ÊTES-VOUS À DALLAS? Ϟ
OÙ ÉTIEZ-VOUS DURANT L'ORAGE DU 28 DÉCEMBRE? Ϟ
AVEZ-VOUS REMARQUER UN CHANGEMENT DEPUIS CETTE FAMEUSE NUIT QUE CE SOIT VOUS CONCERNANT OU CONCERNANT VOTRE ENTOURAGE? Ϟ
CITEZ TROIS CHOSES QUI SONT INDISPENSABLES POUR VOUS? Ϟ
À QUOI RESSEMBLE VOTRE QUOTIDIEN? Ϟ

Spoiler:

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► I'm gracefully tall and you're freakishly short.

Citation :: Dans cette partie vous listerez les diverses manies, tocs , habitudes et autres choses importantes tels que quelques traits de caractères de votre personnage.

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♘ When i see your face there's not a thing that i would change, cause you're amazing just the way you are.

Les passants de la ruelle se révélaient bien plus bruyant que la rue elle-même. Cela aurait pu la distraire, cela aurait aussi pu la mettre dans un état de morosité extrême mais elle était loin de tout cela. Assise sur les marches de l’immeuble où se situait le logement qu’elle partageait avec son frère, Navid sentit la présence de ce dernier se faire entendre la cage d’escalier. « Navid, viens voir me filer un coup de pouce pour ouvrir cette fichue porte ! ». Elle esquissa un rire moqueur tout en se souvenant combien son frère avait toujours avait toujours besoin de son aide pour des choses aussi simples, mais cela n’était guère un reproche bien au contraire. Alec comme Navid demeurait fortement complémentaire que cela soit pour des frères et sœurs. Ces deux avaient toujours été proche l’un de l’autre, quand bien même ils demeuraient tous deux bien divergents. Dès lors, la belle se leva pour venir en aide à son frangin afin d’ouvrir la porte d’entrée de l’appartement. « Tu t’y prends un peu comme un manche avec cette fichue porte comme tu dis. ». Lui avait elle soufflée tout en le considérant d’une moue amusé et tout à fait loin d’être méchante tout en ouvrant la porte qui faisait de la résistance. « Et voilà le travail ! ». Poursuivit elle avec douceur tout en entrant à l’intérieur, le jeune homme sur ces talons. Alec la gratifia d’une expression tout à fait narquoise avant de se laisser tomber sur le canapé en cuir noir du salon. Il saisit la télécommande du poste de la télévision, et commença d’un mouvement rythmé à zapper les différentes chaines. Apparemment rien ne retenait son attention, ce qui bien entendu était synonyme de problèmes lui étant fortement personnelles. Fronçant légèrement les sourcils, l’universitaire en études vétérinaire rejoignit son frère dans la pièce tout s’installant sur un tabouret du comptoir de la cuisine. « On peut savoir ce qu’il t’arrive ? ». Interrogation naturelle qui attendait une réponse concise et toute aussi simple. Cependant son lien fraternel ne l’entendait pas de cette oreille là. Il éteignit l’écran plat, et se leva d’un bond en direction de sa petite sœur de quelques minutes avant de rétorquer de manière colérique et impatiente. « Rien tout de se déroule dans le meilleur des mondes possibles Navy: Les nouveaux résidents de la clinique sont invivables, les cachets pour ta santé valent une fortune, tu es sur une liste d’attente beaucoup trop longue et tu refuses pleinement l’aide du paternel mais à part cela tout fonctionne comme sur des roulettes ? ». C’était clair comme de l’eau roche au moins, il était en colère et cette dernière Navid pouvait la comprendre et ne comprenait que davantage les peurs - nombreuses - que pouvait nourrir son frère envers elle. Derechef, elle sentit une culpabilité complète s’emparer de sa conscience. Elle savait combien Alec se faisait du soucis pour son état de santé critique mais contrairement à beaucoup de personnes, elle préférait vivre comme tout le monde, et non comme une infirme partielle susceptible de mourir à tout instant. « On en a déjà parlés pourtant … Je comprends tes réticences et tes craintes mais tu ne peux pas les laisser ... ». « … les laisser quoi ? Prendre le dessus ? Non c’est une évidence mais ce qui est tout aussi évident c’est que je ne te laisse pas perdre la vie sous prétexte que tu ne veux pas d’aide ou encore qu’on te prennes en pitié. Mais je te retourne la question Navy : est ce que tu prend ma souffrance en compte ? ». Sa réplique avait acerbe et légèrement teintée de reproche qu’il mettait sous silence depuis un certain temps déjà, mais cela l’américaine ne pouvait le contredire. Ils se toisèrent quelques minutes avant qu’elle ne finisse par baisser le regard sur le planché en bois vernis. Elle reporta ses pupilles sur el visage de son ainé, la présence de quelques larmes traitresses venant témoigner de la douleur qu’elle ressentait au plus profond d’elle-même. « Je prend toujours cela en compte Alec, seulement c’est compliqué … ». (…) Profiter sans jamais regretter. Pour autant ça n’a pas toujours été simple, après cette première approche, Alec a finit reprendre ses habitudes calmes et réfléchies. Elle était assise sur les marches du perron de son bâtiment les prunelles scrutant avec patience ce ciel sans étoile ni lumières. Il descendit les quelques marches, lui donnant une tasse de caféine au passage puis s’installa à son coté comme si de rien était. « Tu penses à quoi ? ». « Rien de spécial, je me disais que la vie est complètement a se tirer les cheveux de la tête, mais que j’aime cette sensation. ». Avait elle chuchotée tout simplement avec un énorme sourit massif sur son visage. Voilà ce qu’Alec adorait chez elle, sa positivité, son sens de l’existence, son humeur au summum de la tendresse et du sourire et ses prises de risques. Il savait qu’elle était malade et qu’elle devait suivre un traitement en attendant une future greffe, mais comme beaucoup Navid n’était pas prioritaire car devant elle siégeait une longue liste d’attente.

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♘ I feel for you unconditional love, and i live in the same silence.

« Tu sais combien les choses peuvent être réelles Navid ? ». Ces paroles avaient été déversées dans l’unique but de lui mettre la réalité en face. Les quatre murs de la chambre de clinique demeuraient blancs et aussi limpides que de l’eau de roche. Assis sur une chaise qui siégeait près du lit, Calvin parcourait de ses yeux clairs le visage de sa meilleure amie qui encore plongée dans un coma depuis quelques jours n’avait daignée ouvrir les yeux ou aucuns signes de réveil allant dans un sens positif comme dans un sens négatif. Le frère de Navid ayant beaucoup de travail faisait tout son possible pour prendre de ses nouvelles et passait autant que possible mais le résultat demeurait toujours le même. Sa greffe avait réussit sans grandes complications, mais la belle continuait encore de se meurtrir dans un coma qu’elle ne contrôlait pas. « Il n’y a toujours pas d’amélioration de ton état, mais les choses vont s’arranger je ne me fais pas de soucis pour cela. Tu es bien trop forte et optimiste pour laisser les choses s’installer. ». Sa voix quotidienne lui contait aussi souvent les dernières nouvelles, ou tout simplement lui racontait des mots rassurants et amusants. Il esquissa un tendre sourire en la toisant encore endormie et secoua la tête d’un signe moqueur. « Ce que tu peux me manquer ma belle … tu n’as même pas idée. ». Lui avait il dit tout en passant sa main dans sa crinière d’un blond vénitien en bataille. Un léger silence s’empara de la pièce avec pour seul témoin le bruit incessant des machines cardiaques qui comptait sans cesse les battements de son nouveau cœur. Il se leva pour s’installer au bord du lit avec précaution et lui serra doucement entre ses paumes sa main bandée. « Fais un effort Navid, force toi un peu. ». Il l’embrassa tendrement sur le sommet du front, avant de remarquer un pressement soudain sur sa main. Il lui souffla de recommencer son geste et après quelques secondes d’écoulement, la Sully-Hawkins finit par ouvrir doucement mais certainement ses prunelles qui étaient légèrement embrumées. Avalant avec difficulté sa salive, Navid pu finalement entrevoir la vision nette de son meilleur ami qui lui tenait encore la main. « Hey … ». Lui dit-elle d’une toute petite voix alors qu’elle tentait tant bien que mal de se redresser pour s’installer un peu plus confortablement. Calvin écarta les quelques mèches qui voilaient ses yeux avant de lui la considérait avec une expression soulagée. « Salut ma belle. ». Avait-il dit sur la même intonation comme pour conserver cet échange entre eux. « Je sais combien je te manque Calvin, ne t’inquiète pas. ». La brunette lui lança une œillade mystérieuse et elle serra dans ses bras même si cela lui était légèrement difficile a cause des quelques douleurs qui creusaient au fond de sa poitrine. Le Hawthorne caressa le dos de sa meilleure amie en sachant très bien que cette dernière avait comprit la signification de ses mots prononcés durant son coma. « Ne me fais plus jamais une frayeur pareille Navid. ». L’assertion de son interlocuteur demeurait à peine audible mais elle en comprit l’essentiel et elle hocha la tête avec douceur tout en déposant son visage sur l’épaule de son meilleur ami. La débâcle intérieure des sentiments est désormais ouverte.